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L'ambassadeur des États-Unis explique pourquoi Trump trouve le Canada « désagréable »
L'ambassadeur des États-Unis explique pourquoi Trump trouve le Canada « désagréable »

La Presse

timea day ago

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L'ambassadeur des États-Unis explique pourquoi Trump trouve le Canada « désagréable »

De gauche à droite, Marco Rubio, chef de la diplomatie américaine, Pete Hoekstra, ambassadeur des États-Unis au Canada, le président américain Donald Trump et le premier ministre Mark Carney. L'ambassadeur des États-Unis au Canada affirme que le fait que les Canadiens évitent de voyager aux États-Unis et interdisent la vente de l'alcool américain est l'une des raisons pour lesquelles Donald Trump les trouve « désagréables ». Brenna Owen La Presse Canadienne Pete Hoekstra a soutenu lundi, lors d'une conférence, que de telles mesures « n'envoient pas de signaux positifs » quant à la bonne attitude du Canada envers les États-Unis. M. Hoekstra s'exprimait lors du sommet annuel de la Pacific NorthWest Economic Region Foundation à Bellevue, dans l'État de Washington. La Presse Canadienne a reçu un enregistrement des propos de l'ambassadeur du bureau du premier ministre de la Colombie-Britannique, David Eby, qui a indiqué avoir reçu l'enregistrement d'une personne présente dans l'auditoire. M. Eby a déclaré dans un communiqué que les propos de l'ambassadeur démontrent que les efforts des Canadiens pour tenir tête à Donald Trump « portent leurs fruits », et il a encouragé la population à persévérer. Un représentant du bureau de M. Hoekstra n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires. L'ambassadeur a fait ces remarques en réponse à une question sur les mesures à prendre pour encourager les gens à voyager à nouveau, alors que Vancouver et Seattle se préparent à accueillir des matchs de soccer dans le cadre de la Coupe du Monde de la FIFA l'année prochaine. « Que les Canadiens restent chez eux, c'est leur affaire, vous savez. Je n'aime pas ça, mais si c'est ce qu'ils veulent faire, tant mieux. Ils veulent interdire l'alcool américain. C'est bien, a-t-il expliqué. Il y a des raisons pour lesquelles le président et certains membres de son équipe ont qualifié le Canada de méchant et de désagréable, vous voyez, à cause de certaines de ces mesures. » M. Hoekstra ajoute qu'il « pourrait faire passer de l'alcool de l'autre côté de la frontière s'il le voulait. » « Nous faisons des allers-retours au Michigan et ils ne vérifient pas ma voiture à mon retour », a-t-il blagué, provoquant les rires de l'assistance. La déclaration de M. Eby en réponse aux remarques de l'ambassadeur encourage les gens à continuer à acheter des produits canadiens et à passer leurs vacances au Canada. « Nous ne tolérerons pas ces attaques contre nos emplois, notre économie et notre souveraineté sans réagir. Nous resterons forts ensemble », a déclaré le premier ministre provincial dans un communiqué envoyé par courriel. La Colombie-Britannique fait partie des provinces qui ont interdit la vente d'alcool américain dans les magasins publics après que le président Trump a imposé des droits de douane élevés sur les marchandises en provenance du Canada, une mesure qui a incité certains Canadiens à annuler leurs voyages transfrontaliers.

Nucléaire civil : les États-Unis et Bahreïn paraphent un accord de coopération
Nucléaire civil : les États-Unis et Bahreïn paraphent un accord de coopération

Le Figaro

time6 days ago

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Nucléaire civil : les États-Unis et Bahreïn paraphent un accord de coopération

Le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, a annoncé que les États-Unis et Bahreïn ont paraphé mercredi un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil. Les États-Unis et Bahreïn ont paraphé mercredi un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil, peu avant une rencontre à la Maison Blanche entre le président Donald Trump et le prince héritier Salmane Hamad ben Issa Al-Khalifa. «Il s'agit d'une signature importante. Elle constitue le premier pas vers une coopération nucléaire civile plus approfondie et montre que les États-Unis sont prêts à être le partenaire de tout pays qui souhaite poursuivre un programme nucléaire civil qui n'est manifestement pas destiné à la fabrication d'armes ou à la menace de la sécurité de ses voisins», a déclaré le secrétaire d'État américain Marco Rubio lors d'une cérémonie de signature au côté de son homologue de Bahreïn, Abdellatif ben Rachid Al-Zayani. Publicité Sécurité régionale au Moyen-Orient et coopération économique Il n'a pas cité expressément l'Iran, qu'Israël et Washington accusent de vouloir se doter d'une arme nucléaire. Mais les États-Unis ont bombardé le 22 juin le site souterrain d'enrichissement d'uranium de Fordo, au sud de Téhéran, et des installations nucléaires à Ispahan et Natanz (centre), dans le cadre de la guerre de douze jours lancée par Israël le 13 juin contre l'Iran. Le président Trump doit recevoir plus tard mercredi le prince héritier de Bahreïn à la Maison-Blanche où il sera question de sécurité régionale au Moyen-Orient et de coopération économique.

Marco Rubio va rencontrer vendredi son homologue chinois
Marco Rubio va rencontrer vendredi son homologue chinois

La Presse

time11-07-2025

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Marco Rubio va rencontrer vendredi son homologue chinois

(Kuala Lumpur) Le chef américain de la diplomatie Marco Rubio rencontrera vendredi pour la première fois son homologue chinois Wang Yi en marge d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'Asean en Malaisie, a annoncé le département d'État américain. Agence France-Presse La rencontre intervient alors que Washington et Pékin sont en conflit sur des questions allant du commerce au fentanyl, en passant par Taïwan et les technologies de pointe ou encore le soutien, selon Washington, de la Chine à la machine de guerre russe en Ukraine. Il s'agira de la toute première entrevue en personne entre les deux plus hauts diplomates des deux pays depuis la prise de fonction de Marco Rubio en janvier dernier. Sans nommer les États-Unis, Wang Yi avait appelé la veille à Kuala Lumpur les pays de l'Asie du Sud-Est à faire front commun avec la Chine pour promouvoir un ordre international « plus juste et plus rationnel ». PHOTO HASNOOR HUSSAIN, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Le ministre des Affaires étrangères chinois, Wang Yi La visite à Kuala Lumpur de Marco Rubio coïncide avec une intensification cette semaine des menaces de guerre commerciale brandies par Donald Trump. Les actions de Pékin, jugées « provocatrices » par Washington, près d'îlots disputés avec des pays membres de l'Asean constitueront aussi l'un des autres sujets importants des discussions. La Chine revendique la quasi-totalité des îles et récifs de la mer de Chine méridionale, où d'autres riverains (Philippines, Vietnam, Malaisie et Brunei) ont également des prétentions de souveraineté. Ces tensions ont conduit les Philippines et le Japon à renforcer leurs liens avec les États-Unis, afin de faire front commun contre la Chine. Jeudi, M. Rubio a réaffirmé l'engagement des États-Unis en vue d'une région « Indo-Pacifique qui soit libre, sûre et prospère », l'expression consacrée à Washington qui fait allusion à l'influence grandissante de la Chine. Mi-juin, Pékin et Washington se sont accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, pour remettre l'accord trouvé à Genève d'un cessez-le-feu commercial entre les deux pays. La Chine a récemment assuré qu'elle ne cherchait pas « la confrontation » au sujet des droits de douane. M. Rubio est considéré comme ayant une position de « fermeté » vis-à-vis de Pékin. Malgré leurs différends, Donald Trump a dit fin juin « bien s'entendre » avec la Chine, et son président Xi Jinping.

États-Unis: Diplomatie américaine: vers une vague de licenciements
États-Unis: Diplomatie américaine: vers une vague de licenciements

24 Heures

time11-07-2025

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États-Unis: Diplomatie américaine: vers une vague de licenciements

Après l'approbation, en mai, d'un plan de licenciements, «le département d'Etat va bientôt informer les personnes concernées». Publié aujourd'hui à 01h54 Mis à jour il y a 8 minutes Le secrétaire d'État américain Marco Rubio lors d'une conférence de presse à la réunion de l'ASEAN à Kuala Lumpur, le 10 juillet 2025. AFP Le département d'Etat va «bientôt» mettre en oeuvre son plan de réduction d'effectifs, le premier d'envergure déployé depuis que la Cour suprême américaine a ouvert la voie aux évictions massives de fonctionnaires fédéraux voulus par Donald Trump, a-t-il annoncé jeudi. Cette vague de licenciements ne concerne pas les effectifs des ambassades américaines à l'étranger. Après l'approbation, en mai, d'un plan par le secrétaire d'Etat Marco Rubio, «le département d'Etat va bientôt informer les personnes concernées par la réduction de personnel», indique dans un communiqué Michael Rigas, secrétaire adjoint du département d'Etat chargé des ressources humaines, sans préciser davantage le calendrier. L'ensemble des fonctionnaires licenciés apprendront la nouvelle, par courriel, le même jour, a précisé un haut responsable du département d'Etat. Pas de chiffre Cette annonce de la diplomatie américaine intervient seulement deux jours après que la Cour suprême a ouvert la voie à la mise en oeuvre de licenciements massifs de fonctionnaires fédéraux voulus par Donald Trump en levant une suspension décidée par un tribunal de Californie en mai. Le communiqué du département d'Etat ne détaille pas l'ampleur de cette réduction d'effectifs imminente. Mais, à la question de le comparer au chiffre de 1800 avancé plus tôt dans l'année dans une communication officielle au Congrès, «je dirais que c'est assez proche», a répondu un haut responsable. Le département d'Etat comptait environ 18'000 employés aux Etats-Unis en septembre 2024, selon ses services. Priorité de Trump Ce haut responsable a été précisé que seul le personnel employé sur le territoire américain était concerné et qu'il n'y avait «pas de projet pour l'instant» de réduire les effectifs à l'étranger. Le chef de la diplomatie américaine avait annoncé fin avril un projet de vaste restructuration de son ministère. A ce moment-là, le chef de la diplomatie américaine avait partagé sur le réseau social X un article évoquant des projets de réduction d'effectifs à hauteur de 15%. Depuis son retour à la Maison Blanche fin janvier, Donald Trump a fait des fonctionnaires fédéraux une de ses principales cibles. Sous la conduite d'une commission alors pilotée par Elon Musk, son ex-proche conseiller avec lequel il s'est depuis brouillé, le président républicain a mené tambour battant des coupes drastiques dans l'administration fédérale et sabré dans les dépenses publiques. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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